Sans prétention, je
tiens à donner, en ma qualité d’Expert, de Consultant et de patriote, mon modeste point de vue sur une décision
gouvernementale qui est d’une très grande importance pour notre pays, et qui présage, en filigrane, une probable situation financière
budgétaire dangereuse qui pourrait contaminer la société. Ou à l’inverse, le
Gabon est en surliquidité, ce qui justifierait ce projet de réorganisation, suite,
soit à la réalisation d’une forte plus-value financière fiscalo-pétrolière ;
à l’obtention de dons et legs ou de forts dividendes provenant de lointains précédents
placements. Mon dernier article invitait l’attention de nos gouvernants sur la
nécessité de se montrer rigoureux et sage dans la gestion des biens et
l’administration des hommes.
Très récemment, dans un « Libre-Propos »,
l’un de nos illustres compatriotes pose la problématique des interconnections,
des interférences, de la proximité et du voisinage entre les pays africains et
ceux du reste du monde en matière de financement de leurs économies, des leurs investissements,
de leurs relations commerciales ; de la gestion financière des agents économiques
des pays en développement en relation avec les interventions des partenaires internationaux,
en période de récession économique et de perturbations financières, dans une
économie mondialisée. Son titre : "Wall Street, est-ce si loin
que ça ?"